Il
ne s’agit pas d’un conflit étudiant, mais d’un conflit québécois, qui
oppose deux visions du monde, deux visions différentes de notre avenir
commun.
Il faut tendre la main à ceux qui ne nous comprennent
pas. Expliquer, inlassablement. Cesser les insultes, la
personnalisation. Ne pas menacer même pour rire. Ne pas se faire plaisir
au détriment d’une idée qui nous dépasse tous en cherchant à nous
rassembler. Ne pas cesser de réfléchir. Réfléchir encore. Agir avec
prudence, détermination. Agir avec passion et compassion. Faire du bruit
non pas seulement pour se faire entendre, mais aussi pour se faire
comprendre.
Si on se réclame du bien commun, il faut prendre
acte de ceux qui ne pensent pas comme nous. Il faut aller vers eux, le
visage ouvert et la main tendue. Il faut dire nos idées, notre vision
d’un monde qui n’est pas simplement soumis aux règles de l’économie de
marché, mais qui au contraire soumet l’économie aux impératifs humains.
Il faut se mobiliser, encore, plus que jamais. Pas contre la hausse des frais de scolarité, mais pour le Québec.
Il faut tendre la main à ceux qui ne nous comprennent pas. Expliquer, inlassablement. Cesser les insultes, la personnalisation. Ne pas menacer même pour rire. Ne pas se faire plaisir au détriment d’une idée qui nous dépasse tous en cherchant à nous rassembler. Ne pas cesser de réfléchir. Réfléchir encore. Agir avec prudence, détermination. Agir avec passion et compassion. Faire du bruit non pas seulement pour se faire entendre, mais aussi pour se faire comprendre.
Si on se réclame du bien commun, il faut prendre acte de ceux qui ne pensent pas comme nous. Il faut aller vers eux, le visage ouvert et la main tendue. Il faut dire nos idées, notre vision d’un monde qui n’est pas simplement soumis aux règles de l’économie de marché, mais qui au contraire soumet l’économie aux impératifs humains.
Il faut se mobiliser, encore, plus que jamais. Pas contre la hausse des frais de scolarité, mais pour le Québec.